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Une histoire
étincelante !

Marque #1

 

Hertel, c’est l’histoire de l’étincelle de génie de l’infirmier auxiliaire Roland Arsenault, de Sainte-Foy. Alors qu’il lavait sa voiture, Roland a eu un flash : pour pouvoir vivre pour vivre et non pour nettoyer, ne serait-il pas pratique d’avoir un savon qui peut tout nettoyer, de nos voitures aux vitres de nos maisons ?

Il contacte alors un chimiste et une firme spécialisée, et SPLASH ! Le Hertel Multi est inventé.

 

50 ans après sa création dans la ville de Sainte-Foy, la marque Hertel compte 18 produits nettoyants accessibles dans toutes les bannières d’épicerie, les pharmacies et les grandes surfaces du Québec. La majorité des produits sont également désinfectants.

Les produits sont fièrement fabriqués au Québec depuis. Hertel a l’honneur d’obtenir la certification Fabriqué au Québec.

 

Mon Hertel

La brillante réputation de la marque est née dans le garage familial, sur la rue… Hertel !

« Beaucoup de gens passaient à la maison, achetaient des produits à la caisse et en offraient à leurs parents et amis. C’est vraiment par le bouche-à-oreille que tout a commencé »

raconte Marcel Arsenault, le onzième enfant de Roland et celui qui a repris les rênes de l’entreprise en 1977 avec sa mère, sa sœur et deux de ses frères.

En 1984, deux ans après le décès de Roland, on retrouve les produits nettoyants Hertel sur les rayons des plus grandes chaînes alimentaires de l’époque : Steinberg, IGA, Metro, Provigo, Jean Coutu ainsi que Woolco, devenu Walmart. Alors que la distribution triple, des porte-parole de renom contribuent au succès de la marque. Hertel Multi devient même « Mon Hertel » pour la chanteuse et comédienne Suzanne Lapointe, qui parle sans doute au nom de plusieurs Québécois.

Lave et brille​

Roland ne verra pas son brillant flash envahir le marché.

Par contre, c’est toujours sa formule secrète qui se retrouve dans les produits ménagers, bien que Hertel appartienne depuis 1999 à l’entreprise montréalaise Lavo.

Hertel Multi vent de fraîcheur, c’est la même recette, la même odeur. Ce n’est pas pour rien que plusieurs l’appellent encore « Lave et brille », le slogan qui figurait sur l’ancien emballage.

Dans une entrevue accordée à la journaliste Alexandra Perron du journal Le Soleil, Marcel Arsenault dit : « Chaque fois que je fais l’épicerie et que je passe à côté des produits Hertel, je m’arrête. C’est une belle évolution… C’est ce qu’on appelle le patrimoine. »